Le nouveau site de Musea est en ligne !

Présentation

MUSEA est un site édité par l’université d’Angers qui propose depuis 2004 des expositions virtuelles sur l’histoire des femmes et du genre.

Outil éducatif, culturel et citoyen, il permet de déconstruire les représentations stéréotypées du masculin et du féminin. Ses ressources variées (images, textes, sons et vidéos) servent de support à une réflexion transdisciplinaire accessible à toutes et tous. MUSEA a pour objectif de proposer une histoire réalisée par des universitaires, accessible à tous publics.

Œuvre collective, MUSEA se construit au fil des propositions qui sont étudiées par un comité scientifique dirigé par Christine Bard (professeure d’histoire contemporaine).

Interface entre la recherche sur les femmes et le genre et le grand public, MUSEA s’inscrit depuis 2014 dans les activités du programme de recherche GEDI (Genre et discriminations sexistes et homophobes). En 2017, il est intégré dans les activités du laboratoire CERHIO (Centre de recherches historiques de l’Ouest).

2017 représente une nouvelle étape dans la vie de MUSEA avec un nouveau site et un comité scientifique en partie renouvelé.

Comité scientifique

Ce comité scientifique est dirigé par Christine Bard (professeure d’histoire contemporaine, UA) et composé de Corinne Bouchoux (sénatrice en 2011-2017 du Maine-et-Loire et docteur en histoire, UA), Jérémie Brucker (doctorant, UA), Yves Denéchère (professeur des universités, UA), Frédérique El Amrani (professeure d’histoire-géographie, docteur en histoire contemporaine, UA), Bénédicte Grailles (maîtresse de conférences en archivistique, UA), Nahema Hanafi (maîtresse de conférences en histoire moderne et contemporaine, UA), Vincent Guérin (ingénieur d’étude GEDI, docteur en histoire contemporaine, UA), Frédérique Le Nan (maîtresse de conférences-HDR en littérature et langues du Moyen Age, UA), David Niget (maître de conférences en histoire contemporaine, UA), Nicole Pellegrin (historienne et anthropologue, chargée de recherche honoraire au CNRS) et Éric Pierre (maître de conférences en histoire contemporaine, UA).